En 2018, le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) estimait que l’activité humaine, caractérisée par l’émission croissante de gaz à effet de serre (GES), était responsable d’une élévation 1,0 °C de la température planétaire. Si les tendances se maintiennent, le réchauffement planétaire devrait atteindre 1,5 °C entre 2030 et 2052, et un tel réchauffement aurait des impacts catastrophiques sur les écosystèmes de la Terre.
Considérant que les universités produisent
14 % des émissions polluantes du secteur institutionnel au Québec, il est primordial que les universités du Québec amorcent leur transition écologique, entre autres en rénovant leurs bâtiments et en modifiant leurs méthodes de chauffage et de climatisation.